le petit pénis de la statue de David

Les testicules, si importantes… et sensibles !

Pour changer des habitudes, on ne parlera pas des femmes aujourd’hui ! Mais des hommes. Leur anatomie comporte quelques variantes. Ça n’aura échappé à personne par exemple que tous les hommes sont équipés du fameux service 3 pièces : 3 petites choses qui pendouillent entre les cuisses… La zigounette évidement, comment l’oublier tellement elle sait prendre sa place ! Mais aussi, toujours accompagnée de ses deux fidèles acolytes : les valseuses, les coucougnettes, les boules, les couilles, les testicules quoi. On parle souvent de la bite, mais plus rarement de ses deux amis, dont l’importance est en réalité hautement plus importante ! Nous allons donc réparer cette injustice ! Je te propose une réflexion autours de nos coucougnettes, que tu ne liras certainement pas ailleurs.

On a tendance à l’oublier, mais sans nos petites boules traînant au fond d’un sac à la texture il faut le rappeler, si particulière… et bien nous ne serions pas des hommes ! Je vais te montrer à quel point elles nous sont précieuses, à nous les hommes. Mais aussi malheureusement en contrepartie, vulnérables…

Rappelles-toi tes cours de biologie… sinon je t’en donne un en express ! 😉

Par un enchaînement de mécanismes complexes dont seule mère nature a le secret, en partant d’un spermatozoïde doté de chromosomes sexuels XY ou XX qui féconde un ovule, nous grandissons dans le ventre de maman et naissons 9 mois plus tard, petits garçons (XY) ou petite fille (XX), avec tout ce qu’il faut, et nous deviendront plus tard des hommes ou des femmes. Une des clés de la transformation vers un bébé garçon, c’est la fameuse testostérone, cette hormone sexuelle est produite par notre corps afin de nous masculiniser.

Avant même d’avoir des testicules, nous possédons des organes sexuels (gamètes) indifférenciés. Ce sont de sortes de bourgeons qui n’attendent que de se transformer, dans le sens féminin ou masculin. Si nous sommes XY, notre cerveau avant même la naissance produira normalement des hormones, surtout de la testostérone, afin de les différencier, dans le but de former rapidement nos testicules (pour les garçons) et qu’ils entrent en action.

Je te passe vraiment un tas de détails pour aller vite, mais tu peux te renseigner si cela t’intéresses sur internet sur la différentiation sexuelle… c’est toujours intéressant à connaître.

Nos testicules vivent à l’extérieur

À la différence des filles dont les ovaires restent cachés bien au chaud à l’intérieur, nos boules vivront à l’extérieur, dans une poche compartimentée qui s’appelle le scrotum. La nature a choisi par sélection, que la génération des spermatozoïdes à l’âge adulte serait plus facile à une température inférieure à 37°C, voici l’explication. Tout cela pendouille comme tu le sais entre nos cuisses, en dessous du pénis. Mais la plupart des garçons n’y prêteront pratiquement pas d’attention, préférant s’intéresser à leur bite, érectile, et joujou de plaisirs. On ne pourra pas leur reprocher, on est tous passés par là…

Nos précieux testicules vont beaucoup grandir avec les années, surtout à l’adolescence, sous la supervision d’une partie spéciale du cerveau appelée hypothalamus qui va contrôler la production de testostérone et faire en sorte que le niveau soit au mieux optimal suivant la situation (exemple : nous en avons davantage le matin que le soir)

Les vertus de la testostérone

Sans nos testicules et la testostérone qu’ils produisent, nous ne pourrions pas nous viriliser et devenir des hommes, car c’est eux qui nous offrent :

  • notre force masculine bien connue
  • notre musculature supérieure à celle des femmes
  • notre voix graaave
  • notre libido importante
  • façonne notre corps dans la direction de la virilité
  • etc.
  • …et surtout : notre cerveau masculin avec toutes ses aptitudes différentiées particulières, si différentes des femmes ! Le désir de conquêtes, le sang-froid…

Bref, en résumé, chaque homme peut sincèrement remercier ses couilles pour ce qu’elles ont fait de lui 😉 La testostérone est une hormone clairement bonne pour la santé ! Par ailleurs, nous sommes clairement différents des femmes, complémentaires, et ce n’est pas pour rien si ce système fonctionne depuis des temps immémoriaux ! Malheureusement, le taux de testostérone masculin a tendance à diminuer naturellement avec les années pour la plupart des hommes… mais il est possible de le maintenir haut avec une bonne hygiène de vie.

Les bourses selon les grecs

Durant l’époque de la Grèce Antique, les artistes, sculpteurs en premier, représentaient l’homme idéal avec un tout petit pénis, mais avec des testicules de taille normale. Ils considéraient, dans leur idéal artistique et philosophique, que les gros pénis étaient synonyme de vulgarité, d’orgies sexuelles, d’incapacité à se contrôler, etc. Bon, je n’irai pas jusque là mais… je dois reconnaître une chose, c’est qu’ils avaient compris que les testicules ont bien plus d’importance que le pénis dans la sexualité de l’homme, dans sa reproduction et tout simplement dans l’expression de sa virilité…

Philosophiquement, je trouve qu’ils avaient quelque part raison : le pénis est moins important dans la reproduction, car déjà, peu importe sa taille, même un homme avec un tout petit engin est en faculté de se reproduire. En effet, même avec phallus de 8cm en érection, le sperme jaillira jusqu’au fond du vagin, initiant potentiellement une fécondation de la partenaire…

Pragmatiquement, en dehors des moments de la vie sexuelle, le pénis sert essentiellement comme tuyau d’arrosage. Que nous envient parfois les femmes dans certaines situations !

Les testicules, bien plus importantes que le pénis ?

Bite VS Couilles, le battle ! 😀

« Plus sérieusement, j’aimerai que tu réfléchisses 30 secondes au rôles comparatifs que jouent le pénis et les testicules dans notre vie d’homme, de mâle humain. Dans notre package masculin, nous sommes nés avec les deux en kit, pour rappel. Alors je sais, certains en ont une petite, voire une micro, d’autre une plus grosse, un chibre d’un kilomètre pour certains, wai voila « l’injustice » quoi… ou pas. Tout le monde sait que malgré la taille de la bite, ce n’est pas ce qui compte le plus lors d’un ébat amoureux.

Je vais te montrer que ce qui est le plus important pour nous n’est pas forcément le plus visible ni le plus mis en valeur en société. Plus sérieusement, j’aimerai que tu réfléchisses 30 secondes au rôles comparatifs que jouent le pénis et les testicules dans notre vie d’homme, de mâle humain. Dans notre package masculin, nous sommes nés avec les deux en kit, pour rappel. Alors je sais, certains en ont une petite, voire une micro, d’autre une plus grosse, un chibre improbable d’un kilomètre pour certains, wai voila l’injustice quoi… ou pas. Je vais te montrer que ce qui est le plus utile pour nous n’est pas forcément le plus visible ni le plus valorisé en société.

Le pénis / zizi pour les intimes

Notre bite, c’est notre chouchou, notre totem à nous les mecs. On se focalise sur elle depuis que nous sommes petits gosses… normal, puisque c’est basiquement l’organe que l’on porte fièrement entre les jambes qui nous différencie dès la naissance des filles ! Logique, cohérent. La zigounette constitue un des marqueurs de notre virilité à peine naissante, puis notre organe sexuel par définition, puis l’organe duquel nous donnerons autant de plaisir que possible aux femmes (pas toujours évident), les plus adroits les feront jouir, monter aux rideaux, nous fécondons un jour une femme (pas forcément la femme ne nos rêves) pour lui donner un enfant… etc… blablabla… La destinée d’une bite en quelque sorte !

Mais le plus souvent dans notre vie, notre bite, concrètement, elle nous sert surtout à pisser debout aux chiottes ou sur un sentier sauvage en pleine nature. Pratique au demeurant. Je rappelle que les filles n’ont pas reçu en kit cet accessoire si utile, mais qu’importe, elles peuvent aussi faire sans si elles en ont l’envie. À tel point que de nombreuses filles nous la jalousent ! 😀

Pragmatiquement, tu te sers de ta bite pour pisser debout 365 jours de l’année, ce qui est fort pratique et les femmes nous l’envient sacrément. De temps à autre suivant ton activité sexuelle, tu as le plaisir de pénétrer des meufs avec et de prendre ton plaisir. Combien de fois dans l’année? Calcules… Si certains mecs ont une vie sexuelle active, pour d’autres, leur bite est presque exclusivement un accessoire pour pisser ou pour se branler !

Bref, la zigounette est donc fort pratique… mais ne constitue paradoxalement pas l’essentiel pour un mec. L’essentiel, c’est leur cerveau, parce qu’il n’est pas conseillé de penser trop avec sa bite, ça on le sait…

Les testicules sont clairement plus importants que le pénis

Bouboules, coucougnettes, couilles, valseuses… de nombreux surnoms entourent les testicules des hommes… Nos précieuses boules qui pendent fièrement entre nos cuisses et notre chibre sont sont très souvent les parents pauvres de la considération populaire. Rarement valorisées de nos jours pour leur physique, les couilles seraient là juste « pour la déco », en accompagnement de la saucisse. Alors oui certes il est vrai qu’on entend souvent l’expression « avoir les couilles de… » ou « porter ses couilles » Etc. Les féministes 2.0 se sont évertuées à détruire ce genre d’expressions couillues… Pourtant, ces expressions sont en réalité justifiées, puisque les comportements virils sont essentiellement portés par des hommes, même si il faut le reconnaître, certaines nanas en ont « un sacré paquet »… dont certains hommes devraient s’inspirer !

Et tu sais quoi ? Les testicules jouent justement un grand rôle là-dedans. Le cerveau se montre en effet réceptif à de nombreuses manières à la testostérone.

Nos testicules nous sont fidèles et produisent silencieusement de la testostérone 365j/365 afin que nous soyons masculins. Peut importe que tu aies un petit pénis en vérité, on s’en fou et les femmes aussi. Par contre si tes testicules fonctionnent mal ou disparaissent, tu es dans la merde, mec. Les testicules sont immensément plus importants dans la vie d’un homme que son chibre qui se dresse quand il a envie et reste flasque la plupart du temps. Tout le contraire de ce que notre société nous inculque.

Nos testicules produisent la testostérone, notre produit dopant, à nous les hommes. Et il est souhaitable d’en avoir naturellement le plus possible, pour ses effets bénéfiques sur la santé ainsi que sur notre cerveau. La testostérone contribue fortement à nous rendre solides, déterminés, virils, et maintient notre esprit masculin si admiré par de nombreuses femmes ! Elle est donc un élément clé de notre identité.

Qui nous est le plus utile ? Voila, tu as saisis. Elles sont petites, discrètes, mais tellement essentielles ! Ne comptes pas sur la société actuelle pour te l’expliquer, elle cherche au contraire à te domestiquer, et faire de facto baisser ton taux de testostérone, pour que tu sois bien docile et obéissant…

Ça fait quoi de posséder des testicules ?

Une des question parmi les plus récurrentes des filles concernant notre anatomie. Et on les comprend !

J‘écris les quelques paragraphes qui suivent à destination des filles, qui ne sont pas équipées de notre « paquet externe » et se posent forcément certaines questions à propos de nos coucougnettes. Si tu es un mec, tu n’y apprendras rien et tu peux passer à la suite…!

L’aspect, le chaud, le froid

Je vais en partie parler pour moi, et tu ne pourras pas forcément tout généraliser à tous les hommes, bien que pour la plupart, il en sera de même puisque les testicules ne varient pas énormément en taille d’un homme à l’autre, en comparaison par exemple des seins chez les femmes.

Anatomiquement, les testicules sont contenus dans un petit sac fripé et pourvu d’un petit muscle appelé le crémaster. Ce sac magique s’appelle les bourses, il les maintient, et sont aspect au toucher est assez particulier, rappelant une sorte de cuir mais assez mou. Lorsqu’il fait froid, nos boules sont remontées au plus près du corps par les bourses qui se contractent et donnent un aspect plus ferme et rétracté. Les testicules ne bougent alors pratiquement pas, sans douleurs, tout en délicatesse. C’est d’ailleurs dans ces moments que je ne sens pratiquement pas leur présence. Chose surprenante, lorsqu’un homme a vraiment très froid (par des températures largement en dessous de O°C) les testicules peuvent même rentrer en partie ou complètement dans le corps au niveau de l’aine (pour rester protégés du froid, c’est un mécanisme de survie). Ça ne m’est personnellement jamais arrivé…

Lorsque la température est agréable, les bourses pendent toujours un peu, plus ou moins, et d’ailleurs nous ne contrôlons absolument pas la hauteur, qui est ajustée automatiquement par des mécanismes organiques. Tout comme avec notre pénis, avec lequel nous ne sommes pas davantage à l’initiative d’une érection !

Lorsqu’il fait chaud, les bourses pendent alors à leur maximum, elles sont totalement relâchées, et je trouve même cela parfois « impressionnant ». En plein été, mes boules peuvent pendre 2-3 cm en dessous de mon pénis en position relâchée (mou quoi). Dans ces conditions, il n’est pas rare qu’avec la transpiration, les boules finissent par coller aux cuisses. Cette sensation est particulière, pas forcément agréable mais pas du tout douloureuse pour autant. Je n’ai jamais eu de rougeurs ou de problèmes cutanés, tant mieux ! Juste cette sensation un peu spéciale, inconfortable mais pas méchante. Les couilles qui collent en somme…

Dans ces moments chauds et transpirants, je sens particulièrement la présence de mes testicules, qui pendent entre mes cuisses et prennent bien plus d’importance que mon pénis, flasque et « souvent fatigué » par la chaleur. Il est rare dans ces conditions d’avoir une érection, à moins d’être stimulé par la contemplation d’une belle sirène 😉

Manipulation drôle : on peut soit-même rentrer ses testicules !

Chose absolument inutile du point de vue fonctionnel mais relativement drôle au demeurant : il est normalement possible pour les mecs de… rentrer leurs testicules dans l’abdomen ! Simplement en les poussant avec les doigts, et en les maintenant à l’intérieur avec deux doigts en V inversé (parce que sinon ils redescendent naturellement) L’intérêt ? Absolument aucun. Juste le plaisir de jouer à cache-cache avec ses boules. C’est comme si on en avait plus, tout en sentant quelque chose de gonflé dans l’abdomen. Étranges sensations.

Cette disposition anatomique est possible du fait que les testicules naissent à l’intérieur du corps et coulissent au moment de la naissance dans les bourses. Il subsiste encore un « conduit » étroit pour les faire rentrer en cas de danger, mais pas plus. Attention pour les plus violents à se montrer délicat et ne surtout pas forcer, avec le risque de les coincer, sinon c’est direction les urgences…!

Les sensations que seuls connaissent les hommes

Je sens la présence de mes testicules au quotidien, mais en même temps je les oublie, par habitude. Contrairement aux filles, nous possédons un pénis et des testicules depuis que nous sommes gamins, alors nous sommes parfaitement habitués à ces sensations et la plupart des hommes n’y pensent même pas ! Il est certain que si tu es une fille et que soudainement tu te retrouvais dans la peau d’un mec, tu trouverais la sensation du paquet ultra-bizarre… 😀 Par comparaison, je pense toutefois qu’une forte poitrine chez les femmes prendrait beaucoup plus d’importance dans leur vie ! Autant des petits seins peuvent être agréables à vivre, autant les gros peuvent s’apparenter à un supplice quotidien… De ce côté, nous les hommes ne sommes donc pas trop à plaindre ! 🙂

Posséder un pénis et des testicules est une sensation en définitive relativement neutre. Sauf je trouve lorsqu’il fait assez chaud et humide : les testicules pendouillent et surtout collent et ce n’est pas une sensation spécialement agréable. Le reste du temps on y pense pas.

Et si ta question récurrente est : il t’est déjà arrivé de t’asseoir sur tes couilles ? Eh bien non, elles ne pendent heureusement pas suffisamment pour cela ! Avec l’âge les bourses peuvent effectivement se relâcher, mais tout comme les seins des femmes, à mon avis plus elles sont portées, plus elles peuvent se relâcher il est vrai… mieux vaut donc privilégier les caleçons qui ne maintiennent pas les joujoux en situation d’assistance permanente.

Souvent, avec la chaleur de l’été et la transpiration, les bourses deviennent très moles et frottent sensiblement contre les cuisses… la sensation m’est un peu désagréable, mais sans plus. Avec la transpiration, j’ai l’impression que tout ça baigne dans son jus, pas forcément agréable mais pourtant tout-à-fait supportable. Paradoxalement, il m’arrive fréquemment de ressentir une sensation étrange, de quelque chose de frais contre mes cuisses, parce que mes testicules sont à une température quelques degrés en dessous de celle du corps. Il peut donc faire chaud, avec les boules qui pendent, tout en ayant cette sensation de frais un peu collant. Ce sont des sensations auxquelles ont s’habitue…ou pas… mais heureusement la plupart du temps je n’ai pas l’impression que mes boules prennent trop de place dans ma vie. Regardes en comparaison le cas des taureaux ou des béliers et tu observeras une énorme différence ! (grosses couilles énormes)

Si la nature nous les avaient intégrées à l’intérieur du corps comme chez certains mammifères (parce que toutes les espèces ne les ont pas lâchées à l’extérieur), plutôt que de les laisser pendouiller, j’en aurai été ravis évidement ! Mais ce n’est pas en option, et donc on doit l’accepter tel quel et je pense que de toute façon la plupart des hommes s’en fichent royalement. Concrètement, la présence de mes boules ne me gêne pas. Elles sont légères, mobiles et ne se positionnent pas à la même hauteur (la nature est bien faite). Je ne sens vraiment leur présence que lorsqu’il fait assez chaud.

Sous-vêtements : boxer ou caleçon ?

Longtemps, j’ai porté des boxers pour hommes. Je trouvais ça « confortable » Tout comme les soutien-gorges chez les femmes, en quelque sorte, dans un autre registre. Il s’agit d’une habitude. En fait, je n’avais pas du tout l’habitude que mes parties bougent durant la journée. Il s’agit purement d’une affaire de sensations et d’habitude.

Tu vas rire mais souvent le problème des boxers, c’est qu’ils se détendent aux cuisses avec l’usure… et mes bonbons peuvent justement descendre par une cuisse et se faire coincer là dehors ! Et rapidement ça me tire une boule ou deux, j’ai mal et c’est très agaçant quand ça arrive en pleine journée… Imagines la scène, comme cela peut être perturbant dans des moments où on ne le souhaite pas ! Et je ne dois pas être le seul à avoir connu cela… Mais comme les hommes sont assez pudique sur le sujet, tu n’en entendras pas forcément parler ouvertement.

Cependant, étonnamment, en France, on trouve bien plus facilement en magasin des boxers pour les hommes que des caleçons. C’est la mode du moment. Pourtant, ce n’est pas toujours confortable. Quand il fait chaud, le boxer se transforme en étuve ! Il s’agit d’une question d’habitude surtout, comme pour les soutifs chez les femmes.

Et un jour je me suis dit : pourquoi pas essayer les caleçons ? Au début, c’était vraiment bizarre ! J’avais l’impression de ne rien porter sous le pantalon. Justement, c’est le but ! Être totalement libre de mes mouvements et aucun risque de me faire coincer les boules dans un sous-vêtement merdique… il m’a fallu plusieurs semaines pour m’habituer à autant de légèreté, et finalement je trouve les caleçons tellement plus agréables à porter !! J’ai du apprendre à gérer mes érections parce qu’un caleçon ne t’emballe pas de la même manière ! De toute façon, les gens ne remarquent pas forcément une érection sous le pantalon ou le short d’un homme… Désormais, je ne suis plus aussi sensible aux érections qu’à mes débuts avec les caleçons : tout est peut-être question d’habitude !

Le confort, c’est donc ça la raison d’être des caleçons. Même quand il fait chaud, on est bien. La douceur du caleçon permet de ne pas être importuné par un jean. Quoi que : il ne faut surtout pas porter de pantalon serrant trop le paquet, sinon il tombera d’un côté ou de l’autre ! C’est la seule vraie limitation vestimentaire : choisir des vêtements pas trop moulants. La contrepartie, c’est qu’il n’y a pas de maintien justement : ça pendouille. Et ça, je pense que certains hommes n’aiment pas cette sensation justement.

Avec la chaleur de l’été, tout est relâché. Je trouve personnellement qu’il y a une impression de vulnérabilité avec un caleçon qui n’existe pas avec le boxer. Rien n’est maintenu, tout est au naturel. Psychologiquement, certains mecs doivent se sentir vulnérables en caleçon, c’est pourquoi ils préfèrent porter des boxers. C’est mon avis en tout cas… On retrouve en fait la même idée avec les soutien-gorges chez les femmes au regard de leur poitrine…

Des fois je les sens, des fois non. Il m’arrive parfois d’avoir de petites douleurs à cause de certains mouvement et que ça « tape », mais rien de méchant. Non, le seul vrai problème des testicules, c’est en définitive le risque de se prendre des mauvais coups à cet endroit si sensible…

Tu t’es déjà pris un (méchant) coup dans les couilles ?

Le méchant coup dans les couilles. Forcément, ce danger ne concerne pas les femmes, puisque factuellement elles n’en ont pas (on peut considérer cela pour une fois, comme un des rares « avantage gynécologique » quelque part !)

« L’inconvénient » naturel d’être un mec…

Comme tu l’as certainement expérimenté, malgré leur grande importance hormonale, les couilles ont un énorme inconvénient, et tous les hommes le savent (ou tu le découvriras tôt ou tard) : les testicules sont hyper sensibles. Il s’agit en quelque sorte d’un véritable talon d’Achille chez nous. Plus précisément, ça fait super mal de se prendre un choc malheureux aux testicules. Les plus jeunes d’entre les hommes, ados, garçons, en ont entendu parler évidement, mais dans tous les cas finissent presque toujours par l’apprendre un jour ou l’autre à leurs dépends. Et on peut en parler longuement, mais tu vois, le ressentir, tu vois, dans sa chair, c’est autre chose… La toute première fois que ça nous arrive, ça surprend, car on ne s’attend pas à ce qu’un simple coup dans les parties de l’entre-jambe puisse faire aussi mal !

Bien sûr, tout dépend de la nature de l’objet percutant nos bourses, de sa force, de sa vitesse, de l’angle d’attaque, si les boules percutent le bassin ou non… etc.

Ce n’est pas parce que nous prenons un coup à l’entre-jambe, que forcément il va nous plier en deux. Loin de là… Il peut nous arriver par accident tout un tas de trucs à l’entre-jambes, mais il est reconnu unanimement que le coup de genou aux couilles reste probablement une des choses plus douloureuses infligées à un homme... En effet, frappés et coincés entre le pelvis (bassin) et le genou de l’assaillant, les testicules se retrouvent pris en étaux et prennent mécaniquement assez cher 🙁

Les très nombreuses terminaisons nerveuses dans les testicules en font des organes très sensibles aux chocs. Cette innervation importante sert à nous faire comprendre que ces organes sont précieux et qu’il faut en prendre soin…

On apprend tous un jour à se protéger les parties

En cas de choc : aie ! Notre pénis aussi a mal évidement, mais ce n’est en rien comparable… non les couilles, y a vraiment un truc de particulier concernant leur sensibilité. C’est généralement à l’adolescence que l’on commence à se prendre des coups à cet endroit en jouant ou en faisant un peu n’importe quoi…

Si tu n’as jamais eu l’ « occasion » de te prendre un impact aux bourses sans savoir ce que cela fait, sois curieux, gamin… Je pense qu’au fond cela te sera salutaire !

Tu peux par exemple t’offrir le luxe de te donner volontairement un coup avec un poing ou l’objet de ton choix pour comprendre ce que cela fait… Vas-y doucement quand-même ! À ce moment-là tu pourras entrevoir brièvement à quel point un coup aux parties peut nous casser net ! Multiplie dans ta tête la douleur par 10, 20, 50 fois ce que tu viens de prendre, voila… tu auras l’idée d’un coup vraiment plus sérieux.

J’ai pour ma part eu la chance de ne jamais recevoir de coup violent aux parties, mais j’ai pu entrevoir cela il y a longtemps au cours d’un entraînement aux arts martiaux. Je n’avais pas encore compris qu’un homme devait enfiler une coquille sous le kimono pour encaisser les chocs. Se sont mes couilles qui ont pu savourer ma naïveté en rencontrant le pied d’un coéquipier… Et encore, c’était un entraînement, avec des coups simulés, rien de très agressif… je n’imagine pas l’impact en conditions réelles d’un combat de rue !! Ça doit être terrible !!

Normalement, tout les mecs apprennent un jour par l’expérience qu’il faut éviter de se prendre un coup à cet endroit. Quand on est gosse, on ne sait pas encore que cela peut faire mal, très mal.

Les castratrices occasionnelles

Rappelons que les femmes sont dans leur grande majorité respectueuse des parties intimes des hommes. Malheureusement certaines femmes rencontrent des problèmes sérieux avec les hommes pour diverses raisons, ou qui sont bêtement misandres, ou simplement de nature brutales, au travers de réactions à chaud, nerveuses, incontrôlées, parfois violentes. Etc. Évidement, je ne te parle pas d’une femme qui se défend légitimement contre un agresseur sexuel ou un individu qui viendrait lui arracher son sac. Non, parce que je pars du principe que tu es un gars bien qui n’a rien de méchant à se repprocher.

Ça sent la bagarre : attention à l’entre-jambe !!

Et en cas de conflit sérieux en venant aux mains avec un homme, que font les femmes le plus souvent à ton avis ? Tu le sais… Leur technique favorite est bien connue, très facile à apprendre, et surtout radicale : l’implacable coup de genou aux couilles. La plupart essaieront de te taper à l’endroit qui fait le plus mal pour un mec, c’est logique, et c’est la facilité. Toutes les filles le savent, connaissent notre talon d’Achille (c’est une sorte d’instinct de survie pour elles). On peut difficilement leur reprocher parce que parfois il leur est vital pour éviter de justesse un viol, par exemple… Le problème, c’est quand cette pratique se banalise et devient presque une habitude pour tout et rien. Hors de tout contexte de défense légitime. Une contrariété, et je te tape sous la ceinture, voila quoi…

Ça les amuse…

Malheureusement, il existe aussi des vicieuses qui font cela parce que ça leur fait plaisir. Pour le plaisir de voir plier un homme, finir sur les genou en se tenant les parties. Une sensation de toute puissance brutale à laquelle la femme a rarement accès. Peu importe que cela soit justifié, parfois une simple altercation verbale peut mettre le feu aux poudres. Tous les hommes ne vont de toutes façons pas forcément porter plainte pour cette humiliation violente, et elles le savent très bien… de quoi ne pas se gêner n’est-ce pas, lorsqu’on a un petit différent avec un mec ? Tu en as peut-être déjà connu des situations comme celle-là ou un de tes potes par exemple s’est fait massacrer les couilles par une meuf, pour une main aux fesses d’une chaudière en boîte de nuit, alors qu’elle aurait simplement pu l’engueuler, ou le gifler à la place. C’est plus amusant. Et des cas comme ça, il en a beaucoup, l’ami.

La violence chez les femmes

La plus grande force des femmes, c’est de laisser croire qu’elles sont fragiles.

Paul Géraldy, écrivain, 20ème siècle

C’est vite fait, souvent tu n’y penses pas, en sous-estimant la violence que peuvent libérer certaines femmes. Et là, paf ! Tu ne t’es pas méfié, tu le regrettes douloureusement… Mais si tu veux un conseil simple : ne colle pas ton adversaire, reste à bonne distance (1m), ainsi tu restera hors de portée de son genou… mais pas de son pieds. Mais un coup de pieds, même s’il fera tout aussi mal, est bien plus facile à parer…

Le coup de genou aux couilles représente une castration symbolique de l’homme. Une manière de le dominer, renverser la fameuse « domination de l’homme », laisser exploser soudainement ses frustrations, pour profiter de cette jouissance malsaine de l’avoir vaincu sans efforts, anéanti, castré. Jalousie maladive de certaines femmes envers les hommes pour ne pas avoir eu « les bourses symboliques du pouvoir »… alors on casse les bijoux de famille.

Tout ça pour te dire à la fin, que si jamais, hein, tu te prends sérieusement la tête avec une nana, fait attention, certaines lèveront le genou avec beaucoup de facilité. Certaines le font régulièrement, face à une « contrariété »… par pure bêtise, ignorance, mépris… le résultat sera le même.

Graduation de la douleur

Avant de continuer je dois rappeler quelque chose d’important pour celles et ceux qui l’ignorent :

Un « petit » coup aux couilles n’a rien à voir avec un gros méchant coup. RIEN. Retiens bien cela. L’immense majorité du temps, heureusement, nous les mecs on se prend de temps à autres de petits coups que l’on peut qualifier d’accidentels sous la ceinture. Ce qui est tout autant le cas des nanas. Voila, concrètement rien de vraiment méchant, ça fait mal certes, mais on est loin d’être KO et la douleur reste quelques minutes, au pire une heure, et puis c’est fini. Il n’y a pas matière à s’inquiéter. Le ballon balancé par erreur et qui rebondit aux parties, le bricolage qui tourne à l’accident… en fait en pratique il n’y a pas 36 façons d’être frappé aux bourses, même si certains font preuve d’originalité dans leurs aventures. Le plus souvent, à cet endroit, c’est au cours de la baston ou de jeux au corps-à-corps qui a mal fini. Réfléchissez bien à vos activités messieurs 😀

Pour moi il existe une sorte de seuil dans la douleur suite à un choc aux couilles. Je pense que tant qu’un mec reste à peu près debout sur ses jambes après un choc aux parties, c’est que la douleur reste gérable (ce qui n’est pas agréable pour autant) Inquiètes-toi s’il tombe à terre, c’est qu’il pourrait y avoir des conséquences néfastes !

Ça fait quoi de se prendre un coup aux parties, les gars ?

Forcément, si tu es une fille, tu t’es certainement demandé ce qu’un coup mal placé aux parties peut faire concrètement aux garçons…

Eh bien, malheureusement, un mec qui se prend un méchant coup dans les burnes se retrouvera figé de douleur immédiatement. Concrètement, au niveau des sensations, les testicules ont mal évidement, mais en vrai c’est surtout le bas-ventre qui va s’emplir de douleur en réalité. Les testicules sont innervés par de très nombreux nerfs reliés à l’abdomen, ce qui fait qu’en cas d’impact, on a relativement mal, surtout au ventre. Ce maillage sensitif s’étend en effet largement au niveau du ventre, mais la douleur peut remonter plus haut si le choc est violent…

Le ressenti face à la douleur

Un choc aux couilles nous fige littéralement, c’est un réflexe. Notre souffle se coupe durant quelques instants. Et c’est très impressionnant à vivre. On est pris par surprise. On reconnaît immédiatement cette douleur particulière et très spécifique du coup dans les couilles et on se dit merde, pourquoi là… j’aurai du me méfier. Toute notre attention est centrée à cet endroit-là et on a pas forcément la possibilité de penser à autre chose. On est seul avec notre douleur…

Tout choc petit ou grand aux testicules produit une sensation de chaleur intense, brûlante, dans le bas-ventre, accompagnée d’une douleur lourde qui peut remonter assez loin dans le haut du corps. Occasionnant parfois une paralysie de douleur pendant plusieurs minutes, avec en prime le souffle qui a du mal à revenir.

Les risques

Cela peut aller jusqu’à faire vomir un homme, ou lui occasionner une paralysie respiratoire, ce qui est grave en terme de santé. Dans certains cas, les testicules frappés violemment, peuvent être endommagés et conduire à la stérilité. Frapper aux testicules n’est donc pas un jeu, ça peut même s’avérer très dangereux ! Ce n’est donc pas du tout une bonne idée de jeu d’adolescents en recherche de sensations… Dans les pires cas, un choc brutal aux testicules peut aller jusqu’à provoquer la mort par paralysie respiratoire…

En cas de choc accidentel ou intentionnel amenant au KO, il faut appeler rapidement les secours afin de prendre en charge la malheureuse victime. On ne rigole pas avec les chocs aux parties !

N’importe quel mec qui n’a pas l’habitude de simuler la douleur, qui se prend un coup « moyen », reste debout sur ses deux jambes, même plié en avant. Mais si il tombe au sol, il faut alors s’inquiéter sérieusement parce que c’est un coup vraiment costaud. Dans tous les cas, il faut surveiller les testicules les jours suivants pour s’assurer d’aucunes complications… Les testicules peuvent être très sensibles durant quelques jours, encore choqués…

Attention à la blessure psychologique !

De l’avis de tous les hommes qui se sont pris un sérieux coup aux testicules, ça fait très très mal. Une douleur insondable. Mais on l’oublie souvent aussi, c’est quelque chose de profondément humiliant. En effet, on est clairement frappé en plein cœur de notre virilité. On est frappé sur notre talon d’Achille, à nous les hommes, qui nous rappelle que nous sommes des êtres sensibles.

On parle toujours de la douleur physique, mais rarement des séquelles psychologiques ! Se retrouver soudainement plié à genoux, frappé dans son intimité, peut occasionner une sérieuse perte de confiance en soi, rien que ça, je n’exagère pas. Ce type de traumatisme psychique qui peut être traîné insidieusement pendant des années et des années… Un homme subissant un coup aux parties peut rester traumatisé pendant des mois, des années, suivant l’impact… il ne faut pas prendre cet aspect à la légère. On ne peut pas prétendre qu’un coup aux testicules soit psychologiquement quelque chose d’anodin ! C’est même certainement tout le contraire !

En effet, avec un coup aux parties, nous sommes alors frappés au cœur de notre virilité, sur notre point faible inhérent de mâles, et les conséquences psychologiques ne sont jamais loin. Le coup aux parties est un choc qui saisit l’homme par surprise, et peut briser la confiance en soi. Avec la peur terrible que ce traumatisme se reproduise à nouveau. Si c’est une femme qui a porté le coup, la confiance dans les femmes en général peut même être altérée… mais fort heureusement plupart des femmes ne s’amusent pas à ce genre de choses !

Se prendre un coup dans les testicules, c’est vraiment un sale truc ! Il ne faut en aucune manière minimiser l’impact psychologique d’un coup aux parties… Nous sommes des hommes, nous sommes des êtres sensibles.

Se sentir « castré » suite à un mauvais coup

Avec des testicules enflés et douloureux pendant plusieurs jours, un homme qui a reçu un mauvais coup aux parties peut ressentir une forme de castration psychique. Ce n’est pas pour rien si on parle parfois avec l’expression « il s’est fait castrer! » en parlant d’un homme plié en deux suite à un choc aux parties. L’impact psychologique chez la victime se traduit par le sentiment d’être soudainement diminué, humilié, avec une baisse de la libido jusqu’à la guérison complète… et parfois plus longtemps (choc post-traumatique).

Et les filles si ça leur arrive un genou dans la chatte ?

Alors oui par contre cela peut t’arriver aussi… mais moins souvent. Tout simplement parce qu’habituellement, ce coup est destiné aux hommes. On y pense moins souvent, mais il marche aussi, bien que moins fortement, sur les femmes.

Si cela t’arrive de te prendre un coup dans la schneck, j’imagine que c’est relativement douloureux. Il s’agit quand-même de tes parties génitales, avec notamment ton clitoris, très sensible aux toucher… De ce ce que j’ai pu comprendre, un coup de genou ou impact dans la chatte n’est pas pour autant quelque chose d’agréable. Avec un coup mal placé entre les jambes, les femmes ont mal aussi, il ne faut pas s’imaginer que ça passe agréablement bien. Mais cela n’a absolument rien de comparable avec un coup aux testicules chez un homme…

Les femmes sont clairement avantagées sur les hommes à ce niveau !! Je n’ai jamais vu une femme se tordre de douleur parce qu’elle a reçu un coup à l’entre-jambes… mais peut-être que cela dépend de la sensibilité de chacune ?

Des traumas et lésions pourraient pourtant apparaître, je pense surtout au clitoris (aie la douleur) c’est pourquoi il est préférable d’éviter de jouer à ça, même pour jouer ce n’est pas une bonne idée.

Une femme n’est pas un homme… D’ailleurs, je ne sais pas si ça a un rapport direct, mais il y a beaucoup de meufs qui aiment enfiler des vêtements très très moulants, entrejambes compris. De vrai « moule-la-chatte » ! Coïncidence ? J’ai l’impression que certaines nanas aiment souligner qu’elles sont lisses et n’ont rien de contraignant entre les jambes… à l’opposé des mecs !

Le point faible du sexe fort ?

Eh bien voici venu la partie « gênante » de l’article… Durant quelques siècles, certains hommes au sommet de la hiérarchie sociale, politique, économique, religieuse, ont considéré que les hommes étaient supérieurs aux femmes. Bien sûr, il s’agit d’une grosse connerie car nous sommes en réalité complémentaires. Il n’y a pas de supériorité d’un sexe sur l’autre. Mais beaucoup de différences au travers desquelles nous nous complétons.

Ou alors… nous acceptons qu’en réalité les femmes nous dominent et nous manipulent au travers du sexe, en nous tenant clairement par la queue. On reconnaîtra que l’orgasme féminin est plus probablement puissant, plus long et plus subtil que celui des hommes… ce n’est pas pour rien si les femmes peuvent jouir à ce point. La femme est faite pour jouir et se faire prendre. L’homme est fait pour éjaculer vite, son plaisir s’envolant par la même occasion !

La femme est une matrice pouvant donner la vie, l’homme en est incapable, rien que ça devrait nous remettre en question. Nous sommes excités, nous éjaculons et puis fin du game, en quelque sorte. Qui domine qui ? Nous les hommes, nous avons de notre côté le rôle de venir les féconder, de leur apporter la protection et la sécurité du foyer. Mais dans la société actuelle, elles peuvent même faire sans nous !

Notre rôle de fécondateurs est donc lui-même limité…

Les testicules vulnérables : un moyen de pression gynocratique ?

La puissance des hommes contient une faille intrinsèque entre leurs jambes, que toutes les femmes et filles connaissent, presque instinctivement, matérialisé dès lors qu’elles ont vu un garçon se faire mettre au tapis au moyen d’un simple coup de genou entre les jambes. C’est parfois presque à se demander si elles ne connaissaient pas ça instinctivement… Quand on est enfant, on ne connaît pas encore bien l’anatomie, mais l’on intègre vite le lien cause-conséquences ! Les filles n’utilisent heureusement qu’en cas de nécessité. En tout cas la plupart…

On a tous connu une Jennifer au collège qui aimait taper dans les parties des garçons, pour s’amuser, pour tester, pour les soumettre aussi. La plupart des filles n’aiment pas frapper les mecs aux couilles, ce n’est vraiment pas leur kiff. Par contre il faut faire quand-même attention car y en a certaines qui aiment bien ça, et qui profiteront de la moindre opportunité pour frapper par surprise. Souviens-toi, tu en as forcément connu, des briseuses de couilles, au sens propre. Certaines nanas aiment faire cela car ça leur donne un sentiment de toute-puissance, de revanche sur les mecs. Il ne leur manque qu’un prétexte pour passer à l’acte…

Il y a aussi le jeu. J’ai souvent vu de mes propres yeux quantité de jeunes nanas simuler ou tenter de frapper aux couilles leur pote lors d’une chamaillerie au corps-à-corps. Certaines filles aiment bien « jouer » avec notre talon d’Achille… Elles savent que c’est notre énorme point faible, et ne s’en privent pas de l’exploiter ! Le plus souvent sans frapper ou au pire pas très fort

Il y a quelques décennies, le cinéma et les séries ont malheureusement banalisé le coup aux testicules. Ça fait mal, mais c’est toujours justifié ! Ou pas… Cela a fait beaucoup de mal à la considération portée aux hommes. Comme si un coup à cet endroit n’aurait jamais de conséquences physiques et psychologiques !! J’ai croisé des nanas qui n’ont aucun scrupules à frapper un homme aux testicules pour une main aux fesses ou un manque de respect… ce qui est clairement disproportionné et montrant une totale incapacité à gérer une situation autrement que par la violence. Alors qu’ une claque ou une remontrance appuyée serait parfaitement proportionnée.

Je perçois bien que certaines filles considèrent que les hommes peuvent être « punis » aux testicules pour un manquement aux règles de bienséance, que c’est légitime. Une sorte de dressage par la vengeance. Une frustration de ne pas être né homme parfois ? Parallèlement, tu remarqueras que qu’on ne voit jamais une fille être frappée entre les jambes pour les mêmes raisons, n’est-ce pas ? (même si cela fait mal également, mais beaucoup, beaucoup moins). C’est-à-dire que le coup aux testicules est quelque part banalisé, même si tout le monde sait que cela peut faire horriblement mal. Tout cela est une sorte de gynocratie à tendance violente qui s’est installée dans nos sociétés occidentales.

Certains hommes ainsi passent subtilement sous le joug des femmes parce que cette faille-là (et d’autres d’ordre psychologiques aussi) sont désormais surexploitées. Ils peuvent avoir peur de se prendre un coup à l’endroit qui fait tant mal, sans pouvoir être considérés comme les victimes d’une femme ! Combien d’hommes portent plainte pour un coup aux testicules ? La plupart n’osent pas, parce qu’on les prendraient pour des agresseurs ! Alors qu’ils sont des victimes…

Pourquoi les testicules sont-ils si fragiles ?

Nous les hommes, on est équipés avec des testicules qui concrètement sont vulnérables. Ils pendent entre les cuisses, sans aucune protection. Le moindre coup aux testicules fait super mal, et on peut même finir stérile dans certains cas. Pourtant, l’homme est historiquement un guerrier, il se bat pour son clan, risque sa vie pour l’accès aux femmes. Il est plus fort physiquement que la femme, pour faire la guerre, protéger ses intérêts, etc. Oui mais voila : même un homme costaud, bien entraîné, qui se prend un coup dans les couilles, il est KO, incapable de bouger. Quelque chose ne va pas au pays de la testostérone.

Il est légitime de se demander pourquoi la nature a fait les choses ainsi. Non ?

La raison biologique

La nature ne fait pas les choses au hasard. Si les testicules sont à l’extérieur du corps, c’est pour une question de fabrication des spermatozoïdes. Ils ont besoin d’être fabriqués en dessous de 37°C, voila. La sélection naturelle a validé ce mode de fonctionnement durant des millénaires ! Et cela marche bien, la preuve, on est toujours là avec nos couilles qui pendent !

Wai, ça c’est la raison biologique, mais moi ça ne me suffit pas.

Défendre son patrimoine génétique

Si les testicules sont autant pourvus de sensibilité, c’est pour que dès le plus jeune âge, le garçon comprenne qu’il doit en prendre soin et ne pas les exposer aux chocs. Cela me semble logique au vu de la perpétuation de l’espèce. Ne pas finir stérilisé, la base quoi. Quoi de plus dissuadant que la douleur ?

Prouver notre bravoure au delà des risques

Les testicules ne sont pas logés dans un endroit particulièrement surexposé du corps. Ce n’est pas le milieu du torse, le visage ou les mains. Néanmoins il est toujours envisageable de se prendre un coup aux couilles, surtout lors de combats, le plus souvent avec d’autres hommes. Avec particulièrement plus de risques si l’adversaire est une femme bien sûr ! Alors oui, c’est profondément lâche de frapper aux parties, mais c’est expéditif. Celui qui veut gagner, même dans le déshonneur, peut recourir à ce joker des lâches.

Combattre, c’est prendre d’énormes risques sur sa vie, parce que l’issue d’un combat n’est jamais certaine. La bravoure expose à la douleur, et l’expression « poser ses couilles sur la table » prend tout son sens ici. Se battre, c’est prendre le risque d’être blessé, frappé, y compris entre les jambes, se battre c’est montrer que l’on est un brave qui n’a pas peur de la douleur.

Un moyen de défense féminin ?

Beaucoup de femmes montrent spontanément le réflexe de mettre un genou aux couilles d’un homme qui les agresse physiquement ou sexuellement. C’est compréhensible, étant donné que la plupart des femmes ne sont pas en mesure de faire le poids physiquement face à un homme (à moins d’être formée à la self-defense). Les femmes en effet, sont en général physiquement plus faibles que les hommes. Certaines en font même un complexe…

Malgré cette différence, tout le monde sait que les hommes ne sont pas invulnérables : le coup aux parties masculines fait (très) mal, même si relativement peu d’hommes ont réellement encaissé et vécu un vrai méchant coup aux couilles au cours de leur vie. Les testicules, ce n’est pas pour rien si c’est un des points vitaux que l’on apprend à frapper en self-défense. Rapide, efficace, redoutable. En cas de prédation sexuelle, un des moyens de défense privilégié par les femmes est le genou envoyé dans les valseuses. Bien sûr, ça ne marche pas à tous les coups et un homme peut tout à fait parer avec un genou levé ou carrément mettre une coquille… il devient intouchable de ce côté !

D’une certaine manière, la fragilité des testicules rééquilibre le rapport de force homme/femme. À savoir que les hommes ont très souvent un avantage physique sur les femmes, mais… en cas de nécessité, d’urgence, les femmes agressées physiquement ou sexuellement, peuvent facilement stopper net un agresseur mâle, d’un seul coup. Un homme malintentionné, qui tenterait de commettre un viol, peut être stoppé net en un seul coup bien placé aux testicules. Il est en effet difficile de se remettre en quelques secondes d’un mauvais coup à cet endroit… et la victime aura le temps de s’enfuir.

D’un point de vue évolutionniste, cette faille masculine permet pour une femme de lui épargner un rapport non consenti (un viol pour faire clair), qui pourrait entraîner une grossesse non souhaitée avec un père qu’elle n’a pas sélectionné, choisi. Soudainement, de ce point de vue, la fragilité des testicules gagne une « explication » indéniable… En d’autres termes, le viol en alternative à la séduction (sensualité, pouvoir, argent…) n’est pas forcément une alternative fiable menant à générer une descendance. Les femmes disposent d’un moyen de défense d’urgence que la nature leur a laissé : frapper les testicules d’un agresseur masculin pour le mettre hors d’état de nuire. (Pour ce qui est d’un agresseur féminin, les moyens de lutte seront différents).

Chacun remarquera que même si les hommes ont un avantage, les femmes ne sont cependant pas sans moyen de défense ! Et d’ailleurs, beaucoup s’en servent de façon « réflexe » en cas de besoin…

La vulnérabilité des testicules rappelle aux hommes qu’ils ne sont pas invincibles… et que même face à une femme, ils peuvent perdre l’affrontement ou une tentative de prédation, en ayant bien mal. Selon moi, il n’est pas impossible que la nature ait laissé cette faille afin que les femmes aient une chance de se défendre face à des agresseurs masculins. Imagines que nous ayons les couilles en totale sécurité : cela ne laisserait clairement presque aucunes chances à des femmes ne maîtrisant pas les rudiments du combat ou de la défense… Tout cela prend soudainement un sens particulier, puisque tu le sais probablement : tout est souvent une question d’équilibre dans la nature. L’abeille d’ordinaire pacifique, est en mesure de piquer si elle se sent menacée, peu importe si l’agresseur se sent ou non en position d’avantage…

La nature n’a pas le besoin de faire mieux

Cette idée est simple à comprendre : puisque la génération de gamètes chez les hommes, à savoir la production de spermatozoïdes, se passe à l’extérieur du corps en pendouillant dans un petit sac, sans trop rencontrer de problèmes… pourquoi alors changer de modèle ? La sélection naturelle a validé ce mode opératoire. C’est bien la preuve qu’il fonctionne, qu’il est viable et durable. Cela ne signifie aucunement qu’il est imparfait ou non risqué. Il fonctionne, et c’est tout ce qui compte… Les optimisations ne sont vraisemblablement pas vitales dans un avenir proche.

Par ailleurs, l’homme est équipé d’un système reproductif avec lequel, de base, l’orgasme et l’éjaculation sont intimement liés… Même s’il est possible de faire autrement, notamment avec la pratique et l’expérience, la nature de l’homme le presse à éjaculer rapidement… afin que la femme soit fécondée. Peut importe si l’orgasme est bref… De nombreux hommes ne montrent d’ailleurs pas beaucoup d’efforts afin de prolonger la durée de leur plaisir, et encore moins d’augmenter celui de leur partenaire… Ce qui va pourtant de paire.

Nous savons que les orgasmes féminins sont possiblement, et même certainement, plus puissants que ceux des hommes, à la condition toutefois de bien connaître son corps. Inutile de faire semblant que ce n’est pas vrai. En terme d’intensité, les spasmes féminins d’un bon orgasme semblent montrer qu’elles ressentent des orgasmes plus puissants en terme d’intensités et de subtilités. Ce qui est absolument certain, c’est que les orgasmes féminins durent plus longtemps (10 à 15 secondes en général contre 4 à 10 pour les messieurs) et leur font pour certaines « disjoncter le cerveau ». Sans parler du fait que certaines femmes se montrent poly-orgasmiques, donc avec la possibilité de jouir plusieurs fois d’affilée… C’est du lourd, du sérieux, mon gars. De quoi faire oublier la croyance selon laquelle les femmes se contentent de peu…

Que conclure de cela ? Simplement que la sexualité des hommes est globalement plus simple, voire pour certains triviale, que celle des femmes. Et je ne te parles même pas des aspects psychologiques, sans parler de la différence entre les fantasmes masculins, plutôt réalisables et simples, que féminins, davantage irréalistes, barrés, inavouables… On en parlera pas ici, c’est trop long.

La sexualité masculine est à mettre en parallèle avec son anatomie. Nous sommes faits, de base j’entends bien, pour aller vite, pour jouir vite, transmettre ne semence et par cela féconder les femmes… et pour certains aussi, se casser rapidement comme des voleurs. Nos organes génitaux sont sur la même onde : produire quotidiennement des millions de gamètes dont uniquement un seul élu atteindra le cœur de l’ovule pour réaliser l’union fondamentale et générer un être nouveau et hybride de ses parents. D’un point de vue anatomique, les testicules font dans l’efficacité, peut importe les risques.

Nos testicules pendent entre nos cuisses pour des raisons de température propice à la bonne génération des spermatozoïdes, ce qui arrange la nature… mais pas forcément les hommes, comme on l’a vu. Si l’on avait pu choisir, nos couilles seraient certainement protégées à l’intérieur ! La nature se fout totalement que les testicules soient fragiles, vulnérables, parce que la sélection naturelle a choisi ce système malgré ces inconvénient-là. La nature ne prête en réalité pas beaucoup d’importance à ce que certains testicules soient endommagés, un de perdu, ou même que certains hommes terminent castrés. Parce que dans ce dernier scénario… peut importe en fait que certains mecs finissent eunuques ! Tant que la plupart des mâles se reproduisent, l’espèce perdure, c’est trivial, et c’est tout ce qui compte… Tu retrouves ce principe dans tout le règne animal. Et puis peu importe d’ailleurs, puisque d’autres hommes à la place peuvent chacun parfaitement féconder plusieurs femmes, sans même le savoir ni l’assumer…

Pour preuve, les innombrables guerres qui ont vu le sacrifice d’hommes aussi valeureux que suicidaires, mort au combat. Les « heureux » survivants ont pu s’offrir à de nombreuses femmes ayant perdu leur mari… Exception faite de la 2ème guerre mondiale et des suivantes, qui par le développement technique de la mise à mort, ont étendu les pertes civiles à leur paroxysme. Vu comme cela, c’est un peu cruel, certes, mais la nature n’est pas tendre par définition, que ce soit avec les femmes ou les hommes, de façon différente.

Voici donc une des explications plausible nos testicules qui pendent, que tu n’entendras pas souvent…La nature n’a pas besoin de faire mieux, d’envisager en urgence un système reproductif différent si l’actuel fonctionne bien. L’évolution s’opère sur le temps long (des centaines de milliers d’années). Qu’une part des hommes ne se reproduisent pas du fait d’une mort soudaine, ou d’une castration malencontreuse et douloureuse n’y changera rien…

Ma dernière hypothèse…

Ma dernière hypothèse est certainement la plus dérangeante de toutes. Après plusieurs ajouts, elle m’a semblé la plus intéressante, autant que troublante, au vu de ce qu’elle implique. Bien sûr, je ne prétend à aucune véracité scientifique sur le fond de mon idée, il ne s’agit que d’une réflexion personnelle ! Je te laisse en découvrir la teneur juste après.

Tu as déjà lu, et tu t’en doutais un peu, non ?

L’homme est-il simplement « castrable » ?

Nous allons aborder une hypothèse issue de mes réflexions personnelles, sans l’abonder de sources scientifiques dures comme l’acier. Je t’avoues que je n’ai pas le temps ni l’envie de poursuivre de façon scientifique la question, bien que j’ai tenté bien sûr une approche en demandant à internet. Cette hypothèse, la voici :

En maintenant leurs testicules dans une situation de vulnérabilité, la nature a-t-elle prévu, anticipé, ou même planifié, qu’une certaine proportion des hommes puissent se retrouver castrés durant leur vie ?

J’espère que tu as les couilles bien accrochées. Ça risque de piquer effectivement, puisque cette réflexion a de quoi légitimement glacer le sang de beaucoup d’hommes… en tout cas ceux disposant d’un minimum de capacité à réfléchir pour envisager la chose. Elle remet notamment en question notre « toute puissance masculine », et la brise par le simple fait qu’un bête accident de la vie puisse nous arriver là où il ne faut pas, messieurs. Il s’agit d’une réflexion qui demande un minimum d’humilité, en tant qu’homme.

Je tiens juste à préciser qu’en évoquant cette hypothèse, qui reste une hypothèse et une vue de l’esprit, je n’encourage aucunement et absolument personne à se faire mutiler les parties. Bien au contraire, d’ailleurs !

Par ailleurs, cette hypothèse n’a rien à voir avec le moindre courant féministe extrémiste revanchard et misandre, même si toutefois, certaines pourraient être tentées de le récupérer au service de leur idéologie tordue.

Bref historique moderne de la castration masculine

Durant l’histoire de l’humanité, énormément d’hommes ont subi une castration, partielle (juste les testicules) ou complète (y compris le pénis). Cette pratique était plus ou mois courante suivant les époques et les civilisations. Il ne s’agit malheureusement pas du tout de faits à la marge de l’histoire… bien au contraire…!

Si vous souhaitez en apprendre davantage sur la castration des hommes au fil des siècles, vous pouvez consulter cette page. Rassurez-vous, vos testicules ne risquent rien et n’en seront pas arrachés vifs pour autant ! En revanche tu en sauras davantage !

L’histoire des eunuques

Pendant très longtemps (au moins 4 000 ans avant Jésus-Christ) était pratiqué la castration des hommes, c’est-à-dire le fait de retirer au moins les testicules, et parfois le pénis aussi. Si tu veux te cultiver, voici une page sur le sujet. Il faut savoir que concrètement, actuellement sans une opération propre en sale stérile, les risques d’infections sont très importants et la mort par infection généralisée (septicémie) est plus que probable. Les décès étaient très nombreux pour qui se faisait trancher les testicules, mais surtout en particulier, le pénis. L’enlèvement du pénis est une chose particulièrement risquée, du fait de l’anatomie. La plupart des victimes n’y survivaient pas… Il est comparativement bien moins risqué de ne retirer que les testicules. Ce qui se produisait la plupart du temps… Un véritable carnage !

Les premiers à s’auto-castrer étaient les religieux, afin de prouver leur dévotion à leur dieu. Il faut en vouloir quand-même. Cette pratique était par exemple courante chez les tout premiers chrétiens d’Éthiopie. Selon eux, ils devenaient par cette ablation génitales, ainsi éloigné des obsessions terrestres et désormais plus proche du divin. C’est une question de point de vue !

Et puis il y a eu l’esclavage. Hélas ! Pourtant, ce que les féministes se gardent de rappeler, c’est que des millions d’Africains ont été enlevés par les Ottomans, réduits en esclavage et systématiquement castrés. Je dis bien systématiquement. Ils enlevaient tout. Testicules et pénis. La plupart des hommes mourraient dans d’atroces souffrances… et seuls quelque-uns survivaient… avec un tuyau en bambou dans l’urètre afin de leur permettre d’uriner, et d’atroces souffrances physiques et psychiques à la clé.

Très pragmatiquement parlant, au cours de l’histoire, les hommes à la tête des empires ou de groupes puissants se sont souvent castrés entre eux afin d’empêcher leurs rivaux de conduire une dynastie susceptible de les renverser. Après les avoir vaincu militairement, ou capturés en douce, coupe-coupe et c’est fini les petits ! Point de descendance ! Plutôt que de déclencher une guerre qui impliquera la mort de milliers d’hommes et de civils, il suffit simplement de… couper les couilles de son adversaire pour effondrer ses prétentions… et mettre fin à ses prétentions ! Quoi de plus économique ?

À quoi ça ressemble ?

Ne caches pas ta curiosité. Tu te demandes certainement l’aspect que prend les bourses une fois opéré ? Voici un exemple moderne avec un homme qui s’est fait volontairement retirer les testicules par chirurgie :

Bon, évidement, quand on voit cela, en tant que mâle, ça fait mal. On se demande ce qui passe par la tête de certains pour faire cela !

Qui infligeaient la castration et pourquoi ?

Traditionnellement, ce sont surtout les hommes qui castrent d’autres hommes, afin de réduire leur volonté de rébellion et d’empêcher qu’ils ne puissent engendrer une descendance. Les femmes ne sont habituellement pas les décisionnaires de ce genre de pratiques, c’est important de le mentionner. Contrairement à ce que certains pourraient s’imaginer, les femmes dans leur très grande majorité ne cherchent pas à émasculer physiquement les hommes (bien que psychiquement elles peuvent arriver au même résultat…). Certains hommes utilisaient la castration comme moyen d’incapacité un rival, de le diminuer physiquement et psychiquement, l’humilier, etc.

Pourquoi castrait-on certains hommes ?

  • les transformer en esclaves dociles
  • incapable de procréer
  • humilier et rendre inaptes des adversaires vaincus. Parfois une troupe entière d’une armée ou de mercenaires pouvait y passer… Les prisonniers de guerre des chinois y passaient très souvent !
  • punition d’un tribunal pour certains crimes
  • fabriquer des gardiens de harem dans l’ancien empire Ottoman. Sans leur service 3 pièces ils ne pouvait plus faire grand chose avec les femmes du sultan… ce qui ne les empêchaient pas de tomber amoureux
  • transformer des enfants (oui l’église a osé !!) en castrats pour chanter dans les chorales avec une voix d’enfant…
  • neutraliser un rival politique ou guerrier
  • accéder à des fonctions administratives sous l’ancien empire chinois
  • prêtres voulant se rapproche de dieu
  • etc…

Pendant longtemps donc, la castration des hommes n’était donc pas un fait anecdotique ni même ne souffrait de l’indignation collective. C’était même une pratique courante dans certaines cultures. Le plus souvent, on n’enlevait uniquement les couilles afin de réduire les risques de létalité de l’opération. Retirer le pénis n’étant de toute façon pas la priorité… mais certaines cultures, comme en Chine, enlevaient souvent le pénis en tranchant le tout avec un couteau. Les chinois se sont révélés être probablement l’empire qui a le plus castré d’hommes et d’enfants. Ce n’est que récemment que l’on trouve cela horrible… à méditer. Au vu de l’histoire, rien ne permet d’affirmer que ce genres de choses ne se reproduiront pas à nouveau. Ça se produit toujours de nos jours au cours de certaines guerres…

Effroi : et si la castration était prévue par la nature ?

Voici bien une question dérangeante que personne n’ose poser publiquement (et je peux comprendre). Les hommes sont-ils castrables ?

La nature peut offrir de l’abondance aux humains qui savent en profiter, cependant elle sait se montrer injuste, voire cruelle. L’être humain ne réchappe pas à cette règle…

Je me suis depuis longtemps demandé si la nature n’avais en quelque sorte pas prévu le coup au delà de ça. En effet, la castration des mammifères mâles est une chose relativement aisée, quand on y réfléchit. Ceci afin de préserver des caractéristiques ou d’empêcher certains comportement sexuels. Il est aisé et courant de transformer un cheval mâle en Hongre, et personne ne s’en offusque… L’Homme n’a d’ailleurs pas mis longtemps à la pratiquer sur lui-même ou ses congénères.

Les testicules pendent librement, là entre les cuisses, et ne tiennent concrètement pas à grand chose d’autre qu’à leur petit sac ! Sans parler des risques d’accidents (torsions testiculaires, éclatement…) Il suffit en fait peu de choses pour qu’un homme perde ses bourses, ou le plus souvent un testicule sur les deux. Les testicules sont vulnérables, même si relativisons, l’entre-jambe n’est de base pas l’endroit du corps le plus exposé aux mauvais coups. Le visage prend souvent la plupart des coups !

Sachant qu’une poignée d’hommes peuvent féconder potentiellement beaucoup de femmes, il n’est concrètement pas nécessaire pour la survie de l’espèce que tous les hommes se reproduisent (ce qui de facto n’a jamais été le cas dans l’histoire de l’Homme, à cause des guerres notamment). Bref, castrer certains mâles ne met de facto pas en danger l’espèce. C’est la triste réalité… Dans la nature, chez beaucoup d’espèces, les mâles sont fréquemment sacrifiés après copulation (mantes religieuses, araignées…) ou ne se reproduiront simplement jamais (concurrence forte pour l’accès aux femelles) parce que le mâle alpha veille sur ses femelles et ne les partagera pas.

On peut en toute logique se demander si la nature ne permet pas de castrer facilement les mammifères mâles (en tout cas ceux aux testicules externes… ) Je suis navré mais c’en est en définitive relativement « facile », que ça en devient déconcertant. Cette question-là, tu te l’ai peut-être déjà posée non ? Dérangeante question n’est-ce pas ? Pourquoi est-ce si évident que personne n’ose en parler ? Les étalons sauvages, lors de leurs affrontements pour les femelles, cherchent sournoisement à castrer l’adversaire avec les dents. Aie ! Le fait que les couilles soient supprimées n’est pas un problème pour tout le monde, chez certaines espèces… Mais en serait-il de même chez l’humain ?

Et je ne vais pas te mentir : l’homme castre parfois ses congénères mâles de la même façon que le font certaines espèces dans la nature…

Quelle utilité à la castration des hommes ?

La castration de certains hommes a-t-elle historiquement une quelconque utilité pratique ? Une utilité pour le groupe ? Pour mieux prendre soin des femmes ? Endosser des responsabilités administratives dans les empires, surveiller le harem du sultan, etc. Socialement en tout cas, oui, on délègue souvent des responsabilités aux eunuques. Les eunuques (hors guerriers mutilés qui sont mal barrés) trouvent souvent une place particulière dans les sociétés. Physiquement et psychiquement pour la victime en revanche, c’est souvent un désastre. Disons qu’à notre époque, du point de vue des rares hommes à se faire opérer, ils y trouvent un soulagement dans la réduction et le contrôle d’une libido exacerbée, c’est certain. Parfois certains hommes en arrivent là, mais c’est leur choix en pleine conscience ! Encore faut-il en avoir le désir profond !

Historiquement, la castration d’un homme est accompagnée d’une réassignation de ses fonctions sociales et de son utilité dans la société. Elle se pratique le plus souvent sans son consentement, ce qui revient à être totalement subie… Imagines que des types te chopent à plusieurs, te baissent le pantalon et t’amènent sur une table; l’un d’eux tient une sorte de scalpel et te dit que « tout va bien se passer mon gars, ce sera pas long »… un vrai cauchemar ! C’est pourtant ce qu’ont enduré des dizaines de millions d’hommes… dont la plupart n’y ont même pas survécu !! Silence médiatique…

D’un point de vue physiologique, l’immense majorité des hommes n’ont aucun intérêt à se faire castrer. Nous reviendrons un peu plus loin sur les conséquences organiques de l’opération. C’est-à-dire que l’utilité de la castration est dans l’intérêt du groupe, dans le cadre d’une société particulière qui la pratique ou la pratiquait et lui donne du sens (elle existe encore de nos jours, comme par exemple en Inde) mais plus difficilement acceptable pour les messieurs qui la subissent. Pour qu’une castration soit profitable à l’intéressé, elle doit être pleinement choisie en connaissance de cause…

Les eunuques, fantasme pour les femmes ?

Durant la Rome Antique, il était courant que certaines femmes de la noblesse couchent avec des eunuques, car ils leur assuraient qu’elles ne soient jamais enceintes… tout en pouvant profiter d’une agréable partie de jambes en l’air. Il s’agissait en somme d’un plaisir que seule une caste favorisée pouvait s’offrir… La suppression des testicules est indéniablement la méthode la plus fiable de contraception masculine connue…

Il était favorablement connu que les eunuques représentent de bons amants (en tout cas ceux qui étaient toujours en état de pouvoir bander, ce qui n’est pas systématique malheureusement pour eux). On leur donne pour caractéristiques de pouvoir tenir plus longtemps avant l’orgasme, que les hommes normalement pourvus de testicules. Le pénis d’un eunuque peut être diminué d’un tiers jusqu’à de moitié, mais rien ne dit si cela influence d’une quelconque manière le plaisir des femmes, centré sur le clitoris. De plus, les femmes semblaient les apprécier pour leur douceur particulière et leurs attentions à satisfaire le plaisir féminin… Parfois plus doux et attentifs que les hommes entiers. Logique, puisque d’un point de vue animal, ils n’étaient désormais plus centrés sur leur éjaculation… Tout ceci me semble cohérent, puisqu’un eunuque n’a concrètement plus aucune chance de féconder une femme. Il est donc assez naturel qu’il se concentre davantage sur le plaisir féminin… afin de continuer à exister à leurs yeux et ne pas terminer sa vie comme un exclu… adaptation !

De fait, un homme castré montre beaucoup moins d’obsession à éjaculer qu’un homme encore pourvu de ses testicules, parce qu’il ne peut plus féconder… Et ça, le cerveau désormais restreint à une quantité infime de testostérone, le comprend très bien… L’eunuque mettra de fait beaucoup plus de temps à « monter » et pour finalement jouir. Un eunuque, s’il a toujours de l’appétence pour le sexe avec les femmes, montrera sensiblement plus d’intérêt pour le plaisir féminin et la stimulation du clitoris, organe dédié au plaisir chez les femmes…

Le centre d’intérêt sexuel d’un homme eunuque se déplace en quelque sorte de son phallus, en direction de la satisfaction de la femme. Il s’agit en quelque sorte du seul moyen de paraître encore digne d’intérêt. Avec une virilité émasculée, il est vitale de combler ce manque en proposant autre chose aux femmes… Un bon amant sensuel et lécheur de clitoris représentera alors encore un partenaire de choix et un homme que l’on appelle pour un rapport sexuel sans risque de fécondation… trivial.

Aujourd’hui, je ne sais pas vraiment ce qu’en pensent les femmes. Si tu es motivé, tu peux demander à tes amies ce qu’elles pensent de l’idée de coucher avec un homme qui n’a plus ses testicules ! De mon expérience personnelle, je sais que certaines femmes pourraient s’avérer candidates à ce type d’expériences… L’idée de ne pas tomber enceinte est certainement ce qui peut le plus attirer une femme… mais surtout, il y a ce côté mystérieux de l’eunuque. « Qu’est-ce que ça fait de coucher avec un homme sans ses boules ? » Mystère.

Et puis selon certaines femmes que j’ai croisé, parlons crûment, certaines n’aiment pas du tout se faire remplir le vagin de sperme à l’issue d’une éjaculation masculine… il faut dire que c’est un peu galère à éponger pour ces dames ! C’est normal, puisque le sperme est relâché pour féconder les femmes, il doit donc être capable de coller au fond du vagin. Quel rapport avec les eunuques ? Les hommes sans testicules voient leur quantité de sperme relâché fortement diminuer, voire même : certains hommes montrent une « éjaculation sèche », c’est-à-dire sans plus aucun sperme. Je devine déjà certaines se réjouir d’en profiter…

Il n’est donc pas impossible que le fait de coucher avec un homme châtré représente encore aujourd’hui un fantasme pour certaines femmes. Il leur sera cependant compliqué à assouvir, puisqu’ aujourd’hui, fort heureusement pour nous les hommes, la castration est devenue extrêmement rare.

Un homme peut perdre un testicule et rester valide

Ce titre t’as certainement étonné ! Contrairement à ce que l’on pourrait croire par réflexe mathématique, un homme perdant un testicule ne voit PAS sa testostérone chuter de 50%. Non, non, non, l’ami. Pas du tout. Tu sais ce qu’il se passe ?

Le niveau de testostérone chute, certes, mais pas d’autant. En effet, le testicule restant va se mettre à produire davantage de testostérone pour compenser, même s’il n’arrivera pas à lui tout seul (le pauvre) à produire autant qu’en tandem. Selon certaines études récentes, chez la plupart des patients étudiés, le taux de testostérone reste suffisant pour ne pas ressentir de gêne, de perte de caractéristiques sexuelles et permet toujours de produire assez de spermatozoïdes pour avoir des enfants. Ouf ! Et rappelons que le taux de testo sera d’autant meilleur si l’homme mène une vie au rythme sain et dynamique… Lance Armstrong qui a perdu un testicule après un cancer a toujours gardé du succès auprès des femmes. À noter que les hommes vieux semblent beaucoup plus affectés d’un point de vue hormonal que les plus jeunes, logique. Alors si l’on reste avec par exemple 70% de l’ancien niveau, et toujours dans la fourchette normale, on en souffre pas (sauf peut-être du membre fantôme).

Oui, heureusement. Tu sais pourquoi je dis ça ? Ce n’est pas pour le plaisir de t’affoler mais… il n’est pas si rare de perdre un testicule sur les deux dans un bête accident. Je ne dispose pas de statistiques mais j’ai eu l’occasion de croiser déjà plusieurs garçons qui ont eu quelques soucis de gonades, dirons-nous.

  • L’un a connu un cancer sur un testicule, on a du lui retirer… Il ironise en disant qu’il court encore plus facilement maintenant.
  • Un autre à l’époque du collège en a perdu un dans un accident de vélo (il aimait bien faire des sauts…). On peut y perdre des dents, mais aussi une couille. Certains l’ont surnommé « monoboule »…
  • Un autre a rencontré une torsion de testicule. S’il n’avait pas été pris en charge aux urgences, il l’aurait perdu par nécrose. Charmant. Merci la médecine !
  • Etc. J’en ai certainement manqué d’autres, parce qu’entre nous, on ne parle pas spontanément de ce genre de sujet…

Les cas sont peut-être plus nombreux qu’on ne le pense. Je ne sais pas…

La conclusion à tirer ? Je te laisse deviner. Tout comme il existe deux ovaires chez les femmes, nous les hommes possédons deux testicules. Se sont des gonades. Mais il y a deux différences :

  • les femmes ont un stock d’ovocytes limité qui diminue au fil des ans jusqu’à la ménopause. Alors que les hommes produisent de façon permanente un nombre colossal de spermatozoïdes (les petits têtards!)
  • les deux gonades des hommes sont situées à l’extérieur… et sont de fait vulnérables.

La nature semble en effet avoir prévu le risque qu’un mâle perde potentiellement un jour un testicule sur les deux, sans pour autant devenir stérile. Il en reste un deuxième qui fera le taf ! Et si par malchance on perd les deux ? C’est ce que l’on va voir juste après…

Mon avis sur la question de la castration masculine

Au final, je pense que l’hypothèse que l’homme soit potentiellement castrable n’est pas à exclure. Je n’en suis pas totalement certain, il s’agit d’une hypothèse qu’il m’est difficile de faire valider scientifiquement cependant.

Il est relativement trouble de discerner si la castration des hommes est une pratique purement sociale ou si la nature a prévu que les hommes puissent être transformés en eunuques, sans trop de dommages collatéraux et avec un taux de mortalité « raisonnable » suite à l’opération (puisque saignante et potentiellement mortelle suite à une infection). Je pense plutôt que la réponse est entre les deux : la nature laisse faire les choses. La nature laisse faire la castration des hommes, tant que la reproduction et la survie de l’espèce humaine n’est pas menacée. Voila qui semble une réponse beaucoup moins clivante, non ? L’ablation des testicules transforme l’homme en quelque chose d’autre, de différent… et parfois aussi, d’utile au groupe, à défaut d’être rarement profitable à lui-même (sauf dans le cas d’une promotion sociale)

Il est toutefois important de rappeler que la castration est quelque chose de très douloureux, et donc dissuasif. La nature est ainsi faite : anatomiquement parlant, on peut facilement castrer un homme, mais les nombreuses terminaisons nerveuses dissuadent de le faire soi-même… Un homme n’ira pas se châtrer sur une envie d’un jour… à moins d’être sous une drogue suffisamment puissante et/ou anesthésiante. En règle générale, il lui faut une raison suffisante pour le faire (croyances religieuses fortes), mais le plus souvent, on lui inflige la castration pour toutes les raisons citées dans cet article. Pour le transformer…

Les testicules des hommes pendent librement entre les cuisses et peuvent être retirés, afin que le futur eunuque découvre de nouvelles manières d’exister en tant qu’homme transformé… et de servir la société, plus que lui-même. Parce que les eunuques se mettent volontairement ou non au service de la société avant tout, pas d’eux-mêmes. Ou alors, ils deviennent le serviteur de quelqu’un d’autre, souvent riche et puissant. L’âme s’incarne avant même la naissance, dans un corps découvrant au cours de sa vie, l’évolution et l’altération progressive de son état. Le masculin castré est l’une des voies possibles durant le chemin de l’existence.

L’ablation des testicules n’implique heureusement pas forcément la mort (et plus jamais aujourd’hui grâce aux progrès de la chirurgie), mais modifie radicalement le comportement du mâle. La castration affaiblit considérablement l’homme et le prive au passage du pouvoir de se reproduire. Suivant les époques et les mœurs, les eunuques pouvaient trouver une utilité sociale plus ou moins définie. Bien sûr, d’un point de vue éthique, cela est parfaitement critiquable. Mais ça, la nature est impitoyable et l’humain aussi…

Il est intéressant de remarquer que dans l’histoire de l’humanité, jusqu’à nos jours, que les hommes castrés sont tantôt considérés au choix comme :

  • des esclaves corvéables jusqu’à leur mort
  • n’étant tout simplement plus des hommes (au sens mâle)
  • des hommes diminués mais toujours des hommes
  • un troisième sexe, les eunuques (comme en Inde par exemple)
  • …et plus récemment un des multiples délires LGBT conduisant à la perdition certaine de l’humanité par la banalisation des déviances…

Personnellement, je considère les eunuques toujours comme des hommes, mais diminués, amputés d’une grande partie de leur virilité. Leur cerveau est toujours biologiquement celui d’un homme, mais la très forte diminution du taux de testostérone opère des changements radicaux sur le comportement au quotidien, sexuel évidement, mais surtout dans l’état d’esprit. Un eunuque est moins combatif, plus soumis, plus féminin… Il n’a pas les mêmes priorités qu’un homme en capacité de générer une descendance avec des femmes, conquérir et marquer son territoire, etc.

Concrètement, que va occasionner la castration sur un homme?

Voici une question qui intéressera de nombreuses personnes, sans jamais oser le demander. Quelles sont les conséquences pour un homme qui perd ses testicules, quelles qu’en soient les raisons d’ailleurs ?

Alors… Je ne suis pas un expert là-dessus et me faire opérer ne m’intéresse absolument pas, mais par curiosité, je me suis toutefois renseigné sur les conséquences éventuelles… et je vais tenter de te résumer la situation. Un homme nouvellement castré, devenu donc sans testicules, devient factuellement ce que l’on appelle couramment, un eunuque. Il s’agit d’un homme dont les testicules ont été supprimés, mais aussi possiblement, le pénis également. On restera pour faire simple sur le cas des hommes ayant perdu leurs testicules.

Les capacités d’un homme castré sont radicalement modifiées par rapport à un homme entier :

  • Un eunuque devient factuellement stérile. En incapacité de féconder une femme, et cela au plus tard 3 mois après la castration (le temps que les derniers spermatozoïdes remontent tout le chemin habituel…)
  • son niveau de testostérone va rapidement chuter jusqu’à rejoindre celui d’une femme, voire même… en dessous !! Cela s’explique concrètement au fait que les ovaires des femmes produisent aussi naturellement de la testostérone, parce que cette hormone est importante pour elles aussi ! De quoi se retrouver doublement castré !
  • le désir sexuel est grandement diminué, certains racontent qu’il serait même diminué de 90% ! Tout dépend évidement du contexte et de la psychologie de chaque homme…
  • pratiquement plus d’envies de se masturber, ou vraiment occasionnellement. Moins d’attraits pour le porno, tout ça… Ce qui peut représenter pour certains, une amélioration sensible de leur situation personnelle. Encore faut-il avoir été vraiment dépendant du porno, avec une vraie dépendance maladive, avec un contexte psychologique assez particulier…
  • des érections beaucoup moins fréquentes, et souvent… voire plus du tout d’érections matinales. La fréquence des érections varie beaucoup d’un eunuque à l’autre, selon de nombreux paramètres hormonaux et de santé générale (parce que l’érection n’est pas produite en soit pas la testostérone, bien qu’elle représente un facilitateur)
  • contrairement à une légende courante, un homme châtré peut fréquemment encore avoir des rapports sexuels ! Parfois même de bonne qualité… Ils seront certainement d’une autre nature, mais toujours possibles !
  • le volume de l’éjaculation est réduit, et certains hommes n’éjaculent plus, on parle alors d’ « éjaculation sèche »… mais ne représentent pas nécessairement la majorité. Il est connu qu’un homme ne produise pas nécessairement de sortie de sperme durant un orgasme…
  • une perte importante du volume musculaire… et donc inévitablement de la force musculaire/physique ! La testostérone étant une hormone stéroïdienne naturellement produite en grande quantité par les testicules, leur suppression change la donne ! Un eunuque s’approche musculairement de la force physique d’une femme, même si certaines empreintes musculaires peuvent toutefois persister au delà du bouleversement hormonal. Bien sûr tout dépend des individus et de leurs habitudes d’entraînement ! C’est pour cela que souvent, une femme entraînée a plus de force qu’un eunuque !! Un eunuque entraîné reste meilleur qu’une merde, mais ne se transforme pas en guerrier virtuel façon eunuque de Game of Thrones
  • perte de cheveux
  • perte de pilosité sur le corps
  • sommeil perturbé
  • ostéoporose au fil des années, la testostérone jouant un rôle protectrice sur l’ossature
  • dégradation cardiaque
  • bouffées de chaleurs absolument infernales, typiques des femmes ménopausées !
  • risque de dépression
  • etc…

La cause de ces désastres est l’effondrement du taux de testostérone. La testostérone représente la clé de la virilité. Normalement, un homme est autour de 300-1000 ng/dL de testostérone dans le sang, mais cela varie beaucoup d’un homme à l’autre, en raison de condition très très nombreuses.

Un homme castré atteindra progressivement le seuil de 20 à 50 ng/L… soit le taux d’une femme, voire moins…

Une castration n’est pas effective instantanément

Il faut savoir que contrairement aux croyances populaires, les effets définitifs de la castration chez l’homme ne sont pas du tout instantanés mais prennent plusieurs semaines avant de s’installer définitivement. On parle d’environ 10 semaines pour observer la plupart des changements définitifs… mais certains peuvent prendre parfois encore plus de temps.

Un homme à qui on a supprimé les testicules il y a quelques jours seulement, ne ressentira pas immédiatement beaucoup de différences dans son comportement. Il se sentira « normal » en dépit du fait qu’il lui manque quelque chose de précieux entre les jambes ! Il faut en réalité plusieurs semaines pour que sa force physique diminue, son désir sexuel se réduise jusqu’à peau de chagrin, etc. C’est-à-dire que ce processus de transformation s’installe sur la durée, progressivement, et non pas instantanément, contrairement aux légendes. En d’autres termes, un eunuque ne le devient réellement qu’au bout de plusieurs semaines après l’ablation des précieux testicules !

Le niveau de testostérone sanguin de l’eunuque baissera progressivement jusqu’au point d’atteindre un « seuil de castration » (il se passe la même chose chez les animaux mais avec des délais différents). Seules les glandes surrénales produiront encore un tout petit peu de testostérone, mais pas suffisamment pour compenser. Au bout de plusieurs mois, on peut vraiment alors parler de castration effective…

Nos différences avec les femmes

Il semble exister (je ne suis pas spécialiste) un consensus actuel autour du niveau de testostérone en dessous duquel un homme est considéré comme ayant atteint ce qu’on peut appeler le « seuil de castration ». En dessous de 20ng/dL de testostérone, un homme est considéré scientifiquement comme castréce qui est classiquement au niveau d’une femme, ou plutôt à un niveau… inférieur à beaucoup d’entre elles, car elles produisent elles aussi de la testostérone au moyen des ovaires, en quantité moindre que chez les hommes. Et les femmes dans leur fonctionnement sont plus sensibles que les hommes à la testostérone, car leur niveau moyen est moindre alors que les hommes sont habituellement dans l’abondance de cette hormone. Ce qui signifie, que les femmes optimisent organiquement mieux leur niveau de testostérone que les hommes.

En conséquences : sans testicules, vous aurez rapidement moins de testostérone qu’une femme, ce qui fait relativement peur au vu de ce que cela implique. Certaines femmes se montreront immanquablement donc « plus viriles » que des hommes castrés…

Un eunuque ne se sent plus aussi viril. La testostérone est l’hormone mâle par excellence, notre carburant à nous, les hommes… en être privé doit être difficile à vivre pour beaucoup. De part notre nature, nous carburons à la testostérone, nous en sommes clairement dépendants, en tout cas beaucoup plus que les femmes !

Le problème exposé précédemment, c’est que nous pouvons techniquement et potentiellement nous faire retirer nos précieux testicules. Les femmes, elles, ont tout à l’intérieur, elles n’ont donc à l’inverse aucunes raisons d’avoir peur de la castration…

Sexualité de l’eunuque et rapport aux femmes

Un homme devenu eunuque montre un désir sexuel fortement diminué, du fait de la très forte diminution du niveau de testostérone. Ça, c’est assez bien connu… S’il est de base hétérosexuel, il aimera toujours les femmes et ne deviendra soudainement pas homosexuel pour autant. Il lui est toutefois possible de voir évoluer la nature de ses relations avec les gens, de différentes manières, souvent en tendant vers moins de « confrontations ». Le comportement de l’eunuque est généralement plus efféminé, plus effacé, moins dominant.

Assez souvent, il lui est aussi plus difficile de répondre aux besoins sexuels des femmes. Comprendre : il aura plus de mal à bander, maintenir une bonne érection, et peu l’envie même de rapports sexuels ! Soit des comportements qui ne caractérisent pas vraiment les hommes dans la force de l’âge…

Cependant, au delà de la cinquantaine, la plupart des femmes voient leur libido chuter suite à la ménopause, qui représente une sorte de castration inévitable pour elles, les femmes. Elles produisent alors moins d’œstrogènes… mais aussi de testostérone. Leur désir diminue progressivement (sans forcément être nul c’est important de le souligner). Souvent, les hommes, eux, gardent encore une libido que ne partage pas madame… ce qui peut poser quelques problèmes dans le couple, c’est bien connu. La synchronicité sexuelle n’est plus.

Dans ces conditions, un mari eunuque ou des amants sans virilité ne représentent plus le même effet repoussoir qu’à ses 20 ans… elle est à peu près certaine qu’il ne viendra pas assaillir presque tous les soirs alors qu’elle n’en a pas l’envie… Mieux vaut donc encore devenir eunuque à 50-60 ans qu’à 25-30 ans, parce que le enjeux ne sont pas les mêmes ! De plus, la chute progressive de la testostérone depuis l’âge de 30 ans rend la perte des testicules/testostérone plus supportable que durant la jeunesse (l’effet de chute ne sera pas aussi brutal).

Une conclusion sur la castration

En conclusion, la castration pour un homme représente une des pires humiliations et rabaissements possibles, en lui retirant ce qui fait son identité et sa spécificité. Un homme devenu « eunuque » n’est malheureusement que l’ « ombre » de l’homme entier…

Cependant, dans certains cas à la marge, l’ablation médicalisée des testicules peut potentiellement rendre un grand service à certains hommes dont la libido est profondément déréglée, avec des pulsions incontrôlables par exemple : obsédés sexuels, pédophiles, etc. Cependant, il convient de remarquer que la testostérone n’est pas la méchante dans l’histoire. Il s’agit d’une excellente hormone. Cependant, elle incite au passage à l’acte sous toutes ses formes. Le problème de certains homme est souvent psychologique, avec des racines situées durant l’enfance. La testostérone n’est que le moyen d’un passage à l’acte, et certainement pas la cause… Pourtant, à défaut de trouver d’autres solutions, parfois la castration peut se montrer une solution rationnelle… avec le consentement éclairé du patient bien sûr.

Est-ce que j’ai peur de la castration ?

En m’admirant nu dans le miroir, je me dis souvent que mes testicules sont quelque chose de vraiment très précieux dans mon bien-être masculin, parce que ce sont eux qui m’apportent cette hormone précieuse qu’est la testostérone et tout ce qui va avec. Même si mes bourses sont très bien là où elles sont, il faut cependant faire un constat implacable : ce qui pendouille là ne tient pas à grand chose ! Bein oui, trivial quoi. Tires un peu sur les tiennes et tu comprendras leur fragilité et les raisons de t’inquiéter ! Les femmes ont cet avantage d’avoir les ovaires protégés à l’intérieur du corps, mais nous les hommes, nous devons gérer le fait que nos précieuses gonades ont pour principe de vivre à l’extérieur, ce qui les rend extrêmement vulnérables…

Il ne suffirait théoriquement pas de pas grand chose pour les supprimer ou les abîmer ! De quoi faire flipper n’importe quel mec conscient ou attaché à sa virilité… D’ailleurs je pense que normalement tous les hommes ont peur inconsciemment de la castration, c’est quelque chose qui reste logé bien profondément dans notre cerveau, et ce n’est pas pour rien comme tu as pu t’en rendre compte : l’instinct de conservation/reproduction !

Je ne sais pas vous, mais moi, ça me fait parfois comme un éclair de lucidité et il m’arrive de me sentir vulnérable à cause de ça. En particulier lorsque mes couilles se retrouvent à l’air libre. Pourtant, je sais bien que je ne risque pour ainsi dire rien du tout mais… il y a comme un instinct de conservation qui me dit de toujours faire attention à ne pas surexposer mes parties aux problèmes éventuels…

Quelles sont les situations qui peuvent blesser un homme aux testicules ?

Tout homme a quelque part tout au fond de lui-même une peur refoulée de perdre ses couilles, même s’il n’y pense que très rarement. C’est normal. C’est un instinct de conservation. Nous savons que ce n’est pas totalement impossible, un accident bête arrive si vite ! En particulier, n’importe quel homme qui s’est déjà pris un coup à cet endroit sait forcément que ce n’est pas hypothétique et peut arriver à nouveau, Ça fait mal et on peut tout à fait perdre un testicule, voire les deux lors d’un choc violent. Par exemple :

  • chutes à vélo (c’est fréquent!)
  • accident de la route, surtout en moto
  • pratiques sportives (football, basket, skateboard, arts martiaux…)
  • bagarres
  • morsure de chiens ou autres animaux
  • torsion testiculaire spontanée amenant à la nécrose (mort) du testicule. C’est assez fréquent, mais heureusement, même si on traite trop tard, on en a un deuxième.

Donc un homme ou un ado même aujourd’hui peut parfaitement perdre un, voire ses deux testicules. Je ne dis pas ça pour inquiéter qui que ce soit, mais juste pour rappeler la réalité. Je ne crois pas que tout le monde ose en parler aussi directement. Personnellement, je ne vis pas du tout dans la peur d’avoir un accident, sinon on ne vit plus ! Mais je garde à l’esprit que par exemple, un coup de genou venant d’une femme – ou d’un homme – est une possibilité et qu’anticiper les ennuis est quand-même la base.

À la fois un point fort et le point faible des hommes

On a les défauts de nos qualités dit un proverbe. Les testicules nous apportent énormément par rapport aux femmes, mais ont l’inconvénient d’être vulnérables étant donné leur emplacement/configuration. On être blessé à cet endroit, et parfois aussi les perdre, en même temps qu’une partie de notre puissance masculine…

L’humilité est, je pense, de rigueur. Rappelons-nous aussi que nous sommes avant tout des Humains, avec nos forces et nos faiblesses.

On replace les choses dans leur contexte

Le but de cet article n’est absolument pas de placer les mâles dans une position d’infériorité, ou comme le sexe faible VS les femmes, mais simplement de remettre certaines choses dans leur contexte. Nous les hommes comportons certains problèmes inhérents à notre « fabrication ». Nous risquons potentiellement la castration et les problèmes qui vont avec. J’ai beaucoup parlé dans cet article de la fragilité des testicules des hommes et du risque inhérent de castration (même s’il est faible de nos jours). Cette fragilité est le pendant de notre puissance masculine. Je pense qu’il est important pour un homme d’en avoir conscience et de veiller à préserver ses bourses. Les femmes ont d’ailleurs leurs problèmes qui ne sont pas meilleurs !

Les testicules sont une de nos plus grandes forces, à nous les hommes, que souvent nous n’exploitons d’ailleurs pas assez : il faut tout faire pour augmenter naturellement son taux de testostérone ! C’est un moyen de briller en tant qu’homme. Malheureusement, c’est aussi notre plus grande faiblesse en tant que mecs… c’est indéniable !

La puissance de la testostérone est incroyable et marque une franche différence sur les femmes dans de nombreux domaines : spatialisation, mathématiques, logique, sang-froid, volonté de renverser l’ordre établit, etc. La meilleure chose que tu puisses faire, c’est de chercher à augmenter naturellement ton taux de testostérone, par une hygiène de vie impeccable.

Un sujet sensible et tabou…

Bon, si tu as mené l’effort pour lire cet article assez long en entier ou au moins en diagonales, je pense que tu t’es rendu compte que le sujet au sens large des testicules a quelque chose de relativement tabou. Tabou dans toute la société et en particulier chez les hommes !

  • Tabou parce que l’on relègue habituellement nos coucougnettes à quelque chose de tout à fait secondaire, alors qu’elles sont immensément plus importantes que le pénis dans nos vie d’hommes !
  • Tabou parce qu’il s’agit du siège de notre virilité, incarné simplement par deux petites choses fragiles qui pendouillent dans un sac entre nos cuisses. On imaginerait mieux comme symbole pour les hommes non…? Ou le paradoxe de la virilité à la fois puissante et fragile…
  • Tabou parce que l’on évoque rarement frontalement la question de la fragilité intrinsèque des testicules. Oui les testicules sont vulnérables ! Au même titre que nos yeux, nos dents, notre visage, etc. Y penser nous rappelle un des aspects de la masculinité : à la fois puissante et fragile !
  • Tabou parce que les testicules représentent certainement aux yeux de tous le talon d’Achille des hommes. Un coup mal placé, un pas de chance, nous ramène immédiatement à notre condition de mâles… et tout le monde le sait, en particulier les femmes, qui pourtant n’en possèdent pas. Certaines en profitent même au passage pour nous mettre lâchement KO par un simple coup de genou…
  • Tabou parce que les couilles rappellent que le sexe fort ne l’est pas tant que cela, en définitive. Malgré notre stature supérieure aux femmes, un choc au minou ne leur fera jamais aussi mal que chez nous…
  • Tabou parce que malgré les inconvénients, presque aucun homme ne se fera retirer les boules sous peine d’en payer de lourdes conséquences… Il faut donc vivre avec ces choses qui pendouillent lâchement et collent aux cuisses lors des fortes chaleurs de l’été ! La rançon d’être un homme ? Pour te rassurer, il s’agit certainement de peu de choses en comparaisons des inconvénients d’être une femme… alors relativisons 🙂
  • Tabou parce que le spectre de la castration est inscrit dans le cerveau de chaque homme, même si nous n’y pensons que rarement. Mais pourtant, le subconscient lui, en garde toujours une trace. Si nous n’avions pas ce verrou inconscient, nous serions tentés d’exposer inutilement nos bourses à de multiples agressions, au risque de terminer stérile et donc sans descendance…
  • Tabou parce que la « castrabilité » (mais toutefois hypothétique) de l’homme avec un petit h, a de quoi déranger la plupart d’entre nous. Nos testicules n’ont je le rappelle, jamais été aussi protégés par la loi (droits de l’Homme, tout ça) qu’aujourd’hui. La castration est devenue interdite, mais elle ne l’était pas tout le reste de l’histoire de l’humanité !
  • Tabou parce que notre égo masculin a bien du mal à reconnaître tout cela. Nous sommes habitués, fait de l’évolution et de la sélection naturelle, à ne pas montrer nos faiblesses au grand jour… Peu d’hommes parlent de leurs problèmes de testicules autours d’eux, ni de leur angoisse éventuelle d’en perdre un, voire les deux !
  • Tabou parce qu’on les trouve disgracieux, disons-le. Pourtant, leur aspect ressemble fortement à la vulve des femmes, dont le tissu originel est le même… Et il n’y a en soi pas de raisons sérieuses de considérer notre corps comme disgracieux.

Il est donc très rare d’avoir des discussions profondes sur les testicules, même si certaines femmes se montreront curieuses sur le sujet. Quelles sont les occasions d’en parler en définitive ? Cet article est probablement une rareté, avec ses constats et ses hypothèses. Si tu es arrivé ici par tes recherches internet, bravo parce que l’article est à ce jour difficilement trouvable sur les moteurs de recherche ! Et pour cause, puisque comme je l’indiquais, le sujet ne fait pas recette du fait de ses tabous…

Pour ma part, je crois que cela m’a fait du bien d’en parler et d’enfin mettre à plat mon ressenti sur nos petites boules. J’espère que ce sujet t’aura plu et stimulé ta curiosité ! Je pense avoir fait le tour de la question des couilles, même si l’on pourrait bien sûr encore prolonger le sujet…

Les testicules, ces mal-aimés !

Eh bien justement, je viens de trouver quelque chose à ajouter en tout dernier, en marge. Je pense que tu le sais déjà : de nombreuses femmes ont pour fantasme d’avoir une bite. Histoire de voir ce que ça fait, la saucisse. Pouvoir pisser debout, bander, se branler, pénétrer, etc… Ce qui est somme toute assez légitime comme fantasme pour une femme… On peut les comprendre au vu des « avantages » que cela comporte. Enfin, surtout pisser debout en réalité !

Je te ferai remarquer en comparaison : je n’ai personnellement pas croisé de fille qui rêve de gagner une paire de couilles…! Parce que ça pend entre les cuisses, que les testicules sont jugés disgracieux par certaines et même certains, qu’il s’agit d’une zone sensible et vulnérable, etc. En bref, les couilles ne font pas rêver les dames. Les femmes ne sont de toutes manières pas conçues biologiquement pour disposer du même niveau de testostérone que les hommes, apporté par cette paire.

Le symbole viril masculin typique est le phallus, la bite en érection, dressée, puissante, incontrôlable pour certains même… Les testicules n’ont pour ainsi dire presque pas leur place en comparaison, alors que comme je l’expliquais dans l’article, ils sont bien plus importants que le pénis dans la vie d’un homme

En vérité, les testicules façonnent immensément davantage les hommes que leur tuyau d’arrosage.

Questions indiscrètes aux visiteurs…

Merci de me notifier en commentaire si tu as aimé la thématique castrato-réaliste de cet article, mais aussi pourquoi pas :

  • Si tu es un homme : est-ce que tu ressens une peur ou un risque de castration, physique ou psychologique ? As-tu déjà eu très mal aux couilles lors d’un choc ou autre ?
  • Si tu es une femme : tu as déjà cogné un homme aux parties intimes et pourquoi ? est-ce que tu fantasmes éventuellement de coucher avec un eunuque ?
<br><br>Article d’où provient <a href= »https://statue-shop.com/blog-statue-shop/2-petit-zizi-et-statues-grecques-tout-savoir »>la belle statue grecque</a> en couverture

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